Nom: Elle à peut être honte aujourd'hui de l'avouer, mais son nom de famille ne lui était d'aucune importance. Elle l'a oublier au file du temps.
Prénom: Azelina
Âge: Hélas devenus immortel, elle ne compte plus les années, mais devrait bientôt atteindre environs 1050 ans.
Poste dans la cité: Gardienne et prisonnière de la forêt de Vitial.
Maison+ élément contrôlé: Elle avait apprit à contrôler l'élément Terre (donc Terra Nostra ! )
Race: Nymphe Dryade
Histoire: Comme toutes les Dryades de se nom, Azelina est née dans une verte forêt, du beauté magique et mystérieuse à la fois. La légende raconte que les Nymphes Dryades naissent dans les fleurs, ou dans les minces remous des ruisseaux. Sottises ! Azelina est née de deux parents, qui l'avaient été aussi avant elle, comme avait toujours été conçue les Nymphes. Elle grandit donc dans se milieu fermé, à ou chaque jour et à chaque heure, elle devait exprimer le soit disant culte qu’elle vouait à son arbre protecteur. Mais le petit chêne qui avait été planté le jour de sa naissance la révulsait de plus en plus. Et encore, ce n’était rien comparer aux ridicules danse auxquels elle était forcée de s’adonner, le jour comme la nuit !
Bien qu’elle ait été bercer par les comptes et les chansons de son peuple, Azelina détestait tous se qui venait d’eux. La culture comme les pratiques, tout. Or, elle avait beau y réfléchir, elle ne comprenait pas pourquoi…
Par chance, elle se découvrit bientôt certains dons. En effet, à l’age de 16 ans, elle pouvait faire germer une petite graine en plein hiver. Emerveiller par une telle chose, elle s’était hâter d’aller consulter l’ancien, qui vivait en Hermite, à quelques heures de leurs campements. Ils avaient longtemps parlé, de la forêt, du monde extérieur… et de la Cité de Kulang. Azelina fut étonner d’apprendre que ses pouvoirs, malgré leurs raretés chez son clan de Dryades, était loin d’être une anodin. Ainsi, elle apprit que des personnes pouvaient apprendre à maîtriser l’un des quatre éléments, dont il était capable de se servir. Elle en fut déchirée. Pourquoi, alors qu’elle se détachait enfin des autres de sa race, devait elle être enticher de l’élément terre, qu’elle détestait tant ? Grâce à l’appuie de l’ancien, Azelina partit à la Cité de Kulang, où elle devait là bas, apprendre à maîtriser son pouvoir…
Bien qu’elle eut été heureuse de pouvoir enfin quitter cette maudite forêt, elle l’était moins à chaque fois qu’elle se servait de son don. Très vite, elle se détesta plus encore que lui et sombra dans une froide rancœur. Se fut lui qui l’en sortit. Lui. C’est yeux, ses cheveux noirs. Sa peau pales et ses oreilles pointues. Sa voix, qu’il utilisait si souvent pour la consoler, lui parler de son peuple et de tout se qui l’entourait. Enfin elle vivait, elle vivait dans la douceur et la joie de cet elfe au pouvoir de l’air. Ce fut lui qui la réanima, en quelque sorte et elle finit ses études brillamment. Mais le destin semblait voir les choses autrement.
De retour dans la forêt des Dryades, elle annonça qu’elle vivrait désormais dans la Cité, avec l’Elfe qu’elle aimait. Cette annonce souleva une énorme colère parmi les Dryades. Pour eux, il était inadmissible que leur peuple se mêle aux autres. C’était une souillure intolérable.
Ils la retinrent plusieurs jours, pour tenter de la faire changer d’avis, puis les jours devinrent des semaines, puis un mois. Et un matin, enfin, les Dryades la laissèrent partir. Mystérieusement, plus aucuns ne se plaignit, et elle se prépara à partir l’esprit léger. Pourtant, l’ancien vint la voir et il la prévint d’une chose : Si elle partait, elle ne pourrait jamais revenir et en aucun cas. Mais de cela, elle s’en fichait. La seule chose qu’Azelina désirait, c’était vivre, loin de la forêt avec l’être qu’elle aimait le plus au monde, et dont elle était aimé en retour. Elle fit alors ses adieux, et repartit vers la Cité sans se retourner.
A son arriver à Kulang, elle courut presque jusqu'à la bâtisse qu’elle avait réussit à acheter. Son aimé devait l’y attendre, et depuis le temps qu’elle était partit, elle ne pensait plus qu’à leurs retrouvailles ! Mais lorsqu’elle poussa la porte en criant qu’elle était de retour, elle dérapa dans une marre de liquide écarlate. Etourdite, elle redressa la tête, juste devant celle, horriblement déformer, de son amant, mort…
Elle aurait aimé hurler, mais aucun son ne sortit de sa bouche. Son cœur semblait avoir exploser, tellement il lui faisait mal dans sa poitrine. Pendant un instant elle ne pus bouger, terroriser, pétrifier devant se spectacle. Elle n’arrivait pas à y croire, mais il était mort… et elle était souillée de son sang ! L’infâme odeur de pourriture lui agrippa férocement la gorge, et elle ne put se retenir d’avantage. Azelina sortit de la bâtisse en courant, les yeux brouiller de larmes. Des larmes de chagrin, mais aussi des larmes de haine, car comment n’aurait elle pas pus remarquer ces racines, ces copeaux de terre, près du cadavre ? C’était EUX qui l’avaient tué…et cette idée la tuait à petits feux, elle aussi.
Inconsciemment, ses pas la menèrent jusqu'à la forêt Vitial, proche de la Cité. Cet horrible instinct ne fit que la rendre enragé et très vite elle se mit à hurler son désespoir, arrachant toutes les plantes qu’elle voyait sur son passage.
« La terre, la végétation !!! Cela me rend malade et voila se que j’en fait !!! Lui, il n’avait pas le droit de vivre, alors que vous, plante démoniaque vivez en ayant hébergé d’immonde créature !!! MAIS POURQUOI ? POURQUOI SUIS-JE DE CETTE RACE LA !!! »
Les larmes et les sanglots de la jeune femme résonnèrent des heures entières dans la forêt, pendant lesquels elle ne cessa de détruire la magnifique faune avec son pouvoir, devenus terriblement dangereux. Mais il se passa alors une chose, que même la plus improbable des légendes n’eut jamais racontée. La faune elle-même se vengea de la violence d’Azelina.
Plusieurs branches virent la fouetter et la transpercer. Et la Nymphe entendit alors :
« Toi, qui ose de dresser contre la vie et contre la nature qui ta créer, voit la vengeance de la forêt de Vitial. Soit maudite, jusqu'à la fin de l’existence de se monde. Voit le châtiment qui t’est aujourd’hui infligé ! »
Azelina sentit alors en elle de brusque changement, non pas physique, mais intérieur. Elle avait mal, mal partout, de la tête aux pieds, du cœur à l’esprit. Et elle crut nourrir.
Malheureusement, sa punition était pire que la mort. Elle se rendit très vite compte qu’elle souffrait le martyr lorsqu’elle s’approchait trop près de la lisière. Elle ne pouvait en sortir et en était à présent la gardienne, condamner à protéger se lieu qu’elle détestait tant. Et elle était devenue immortelle…
Les premières années furent un supplice. Elle pleurait sans cesse, poussant parfois des plaintes déchirantes en voyant que les seules larmes qui coulaient le long de ses joues était le sang de son défunt amour. La vie était devenus un lourd fardeau, qu’elle tenta de s’ôter de nombreuses fois. Mais à chaque fois, l’esprit de cette forêt la ramenait à la vie. Et elle abandonna…
Elle se découvrit de nouvelle capacité, qui égayèrent au bout de quelques années ses mornes journées. Ainsi elle pouvait ne faire qu’une avec la nature, se fondre en elle à sa guise. Cela ne fit que l’occuper un temps, puis elle désespéra. Sa voix se faisait souvent entendre la nuit, des pleurs ou des chants d’une tristesse incroyable montait dans le ciel du crépuscule. Et les années passèrent, les une après les autres.
Elle resterait toujours là, prisonnière de la forêt de Vitial…
Caractère: Il est presque impossible de cerner Azelina. Un instant joyeuse et pleine de vie, courant au travers des arbres ou s’éclaboussant dans une mince rivière, l’instant d’après à se morfondre et à pleurer. Lunatique donc. Ne sachant plus vraiment que faire, et étant condamné, elle est plutôt contente de croiser le chemin de baladeurs dans la forêt, et aime écouter tout se qu’ils ont à dire. Elle est très naturelle et d’une franchisse parfois blessante. Elle ne s’attache pas aux apparences et se lie facilement d’amitié. Elle ressasse souvent le passer et pleur souvent son amour perdu. Elle voue une haine féroce aux Nymphes de son clans, et passe des fois des heures à les maudirent. Si vous croiser sont chemin, elle peut paraître plus collante qu’attachante, mais il faut tenir en compte ses année de solitude !
Physique: Depuis qu’elle ne fait plus qu’une avec la nature de la forêt de Vitial, Azelina a beaucoup changé. Ses cheveux sont à présent long jusqu’aux genoux. Ils sont brin, mais d’une clarté étonnante, emmêler mais ne semble être que très onduler. Les yeux gris d’Azelina sont très certainement l’élément le plus mystique de son physique. Ils sont d’un mystère, d’un charme incomparable et envoûte celui qui la contemple. Elle à un visage fin, qui inspire la confiance et la sérénité.
Les seules choses qui n’ont pas changé sont sa taille, sa minceur, et la pâleur de sa peau. En effet, elle mesure environ 171 cm d’une pâleur qui rendrait sa peau presque diaphane, et sa minceur, sans être maigre pour autant, lui donne l’air d’être extrêmement fragile. Ce qui n’est qu’une apparence…
Elle est toujours peut vêtus, n’ayant plus que de vieux lambeaux déchirer par ses courses folles à travers les arbres.
Autres: Elle ne dors plus, et est insensible au intempérie, à la chaleur et au froid.
Exemple de message: Le jour se levait, inlassablement sur la forêt de Vitial et sur sa prisonnière. Comme tout les matin, celle-ci flânait par ci par là, cherchant une occupation. Mais Azelina ne trouvait plus rien à faire. Depuis les centaines d’années qu’elle était prisonnière, elle avait épuisé son stock d’idée, et ne savait quoi faire. Alors elle recommença… encore et toujours, la même chose. La Nymphe maudite s’ennuyait, et elle n’avait pas finit…
Mais que faire à présent, elle n’avait vraiment aucune envie de retenter de s’enfuir… pourtant elle avait toujours cet espoir : croire qu’elle pourrait un jour s’en sortir ! Alors elle y crut et se mit à courir, de toutes ses forces, de toute son âmes ! Azelina courut avec une telle force qu’elle s’en serait briser les chevilles si elles avaient pu faiblir, ne serais-ce qu’une seul fois… De nombreuses branches lui fouettaient violemment le visage, mais elle ne s’en soucia pas. Très vite, elle arriva près de la lisière et son cœur se gonfla. Peut être que cette fois …
Une insoutenable douleur lui arracha un cri suraigu. Non, elle ne pouvait sortir de cette horrible forêt ! Encore une fois elle se tordait de douleur et rampait lamentablement par terre, en direction du centre de la forêt. S’accrochant aux branches pour tenter d’avancer plus vite, elle sentit les larmes lui monter aux yeux et comme d’habitude, se fut du sang qui coula…
La malédiction ne prendrait jamais fin, il n’y avait aucun espoir…